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Xx-Quand-la-Haine-xX

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“ Huitième chapitre en ligne ! ” - vendredi 10 novembre 2017 11:27
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Création : 20/08/2011 à 21:10 Mise à jour : 04/12/2017 à 10:17

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29 articles taggés Dramione

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9. Dis moi que je ne rêve pas ...

 
Chapitre 9 ~ Des êtres que tout oppose, mais des pensées qui convergent vers une seule et même personne ...
 

 

 

9. Dis moi que je ne rêve pas ...
 
 
 
        Voilà trois semaines qu'Hermione la douce et courageuse Hermione nageait dans un monde parfait ... Trois semaines que ces amis lui rendaient visite le plus souvent possible ... Trois semaines que son homologue se pavanait comme si de rien était entre les murs du château ... Le mois de Novembre était déjà bien entamé, l'hiver se rapprochait à grand pas, assombrissait le ciel, la pluie claquait contre les parois de l'école, le vent percutait de pleins fouets les corps des élèves téméraires se baladant dans le parc, le temps filait à une toute allure ici bas.
 
 
Point de Vue Ron.
 
 
        Je me suis rendu à l'infirmerie comme toujours, Harry et Ginny me laisse un peu de temps seule avec ma Mione ...
 
 - Aujourd'hui Rogue a encore fait des siennes, on bavardait tranquillement avec Harry, enfin tu vois ! Et on s'est pris un coup de livre chacun, j'ai même une bosse ! Malefoy s'est mis à ricaner, j'aurais voulu lui jeter un sort mais Harry m'en a empêché, je suis sûr que c'est lui qui t'as fais ça ! Tu me manques ma Mione ... Si tu savais. Tout les Gryffondors t'attendent de pieds ferme. Et puis je ne m'en sors plus dans mes devoirs sans toi ! Je plaisante bi ...
 
 - Oh ! Si c'est pas mignon ça ? Weasmoche qui parle à sa Sang de Bourbe il lui fait même de petites boutades, allons je te savais en dessous de tout mais là ! Par Salazar, là on bats tout les records, un vrai demeuré !! constata l'affreux Serpentard blond,
 
 - Qu'est que tu fous ici ? Tu viens te délecter du mal que tu lui a causé !? Tu vas le regretter Malefoy ! Tu n'aurais jamais dut toucher à Hermione ! vociférai - je hors de moi, tout en prenant ma baguette, ce crétin de Malefoy me vit faire et alors que je crus qu'il allait répliquer en sortant la sienne, il se mit soudainement à sourire, sourire qui n'annonçait jamais rien de bon, qu'avait t'il en tête maintenant ? À mon grand désarroi la réponse ne se fit pas attendre,
 
 - Oh oh oh ! Attention Weasmoche ta baguette serait capable de se retourner contre toi, rappelle - toi de ce jour exquis, où tu t'es mis à cracher des limaces en voulant m'attaquer, c'était à en mourir de rire quand j'y repense !
 
 - La ferme Malefoy ! beuglais - je, honteux au souvenir peu glorieux de cet épisode de ma vie, cette fouine bondissante à le don de ce rendre exécrable à la limite du meurtre,
 
 - Ton manque de contrôle m'exaspère Weasley, tu devrais arrêter de t'énerver comme ça, tu vas finir par exploser bien que cela m'importe peu, ricana Drago.
 
De violentes pulsions meurtrières m'assaillirent, je rangea donc mon précieux bien dans la poche intérieur de ma cape et pris la sage décision d'arrêter cette '' échange '' inutile avec cette sale vermine et reposait mes yeux sur ma belle brune ... J'ignore quand elle se réveilleras, j'ignore surtout si elle se réveilleras un jour. Je ressassais toutes nos aventures, tout nos fous - rires, tous nos secrets partagés, nos nombreux moments de doute et de peur, nos disputes, notre première rencontre : pas très amicale d'ailleurs ! Si elle ne se réveillais pas, je la haïrais ... Oh ! Oui, elle ne peut pas m'abandonner. J'ai besoin d'elle. Je refoule tant bien que mal mes larmes, je me dois de rester fort pour Harry et ma Mione, je vais aller me coucher. Il ne me restais que dormir, manger et Hermione, le reste est superflu.
.
.
9. Dis moi que je ne rêve pas ...
.
.
Point de Vue Harry.
 
 
        Je marche dans le parc, le vent me gifle le visage, les cheveux plus en bataille que jamais mais je m'en fiche éperdument. Si Molly me voyait ainsi, elle me forcerait à manger une quantité astronomique de ses délicieuses tartes aux fruits si ce n'est plus, tellement je me suis amaigris pendant tes trois semaines d'absence Hermione et trois semaines d'entrainements et de recherches infructueuses avec Dumbledor, je suis épuisé ! Je fais peur à voir c'est vrai ... Des cernes à n'en plus finir, le teint jaunit, le regard vide, j'ai perdue une partie de moi. Quand Pomfresh à annoncé ta possible léthargie éternelle, Voldemort n'est plus mon ennemi n°1, oh non, bien sûr tu n'es pas la seule responsable de l'état dans lequel je me trouve, ce vieux squelette décharné l'es aussi mais tu comptes plus à mes yeux que ce pseudo Lord des Ténèbres, je ne veux pas te perdre toi et les Weasley êtes ma seule famille, toi tu es ma petite soeur, mon petit génie, sans toi et Ron je ne serais rien, reviens - nous vite, je t'en supplie, on a besoin de toi, aujourd'hui plus que jamais ma Mione.
        Je ne sais pas ce que t'as fais cette saloperie de Fouine mais crois moi je te vengerais ! Ce que j'ai prévu de faire à Voldemort c'est de la rigolade par rapport à mon plan pour faire payer Malefoy de ton état. Si tu avais été là et que je t'avais dit ça, tu m'aurais répondue posément qu'il valait mieux l'ignorer que s'est tout ce qu'il recherche c'est attirer l'attention, mais tu n'es pas là et c'est bien ça le soucis, reviens vite avant que je ne commette l'irréparable. 
 
Point de Vue Ginny.
 
 
        Merlin, quelle ironie ! Ils ont tous les trois combattus les pires Mangemorts, affronter les pires épreuves que l'ont doivent surmonter dans sa vie ... Et Mione s'effondre à cause de ce stupide Serpentard, froussard. Non, impossible. Si ce n'était pas elle, j'en rirais à n'en plus pouvoir respirer. Malheureusement, s'est tombé sur eux, sur elle, pourquoi toujours, T.O.U.J.O.U.R.S. Eux ? Quelqu'un a t'il une explication cohérente à me fournir sur le karma malfaisant qui semble les poursuivre chaque jours que Dieu fait ?
        J'ai besoin de la voir le nez plonger dans ses bouquins, besoin d'entendre sa plume crisser désagréablement sur le parchemin quand elle fait ses devoirs, besoin de la voir se mordiller les lèvres et se passer la main dans les cheveux quand elle réfléchit intensément, besoin de l'entendre gronder mon frère quand il parle la bouche pleine, besoin de lui parler et de rire avec elle. Un seul être vous manque, et le monde est dépeuplé, véridique. Quand je vois mon frère ; le teint blafard, les yeux vitreux évidés de vie, d'une lenteur effrayante tout au long de la journée, rater tout ses entraînements de Quidditch, j'ai envie de hurler : RÉVEILLE TOI ! Je t'en supplie ne laisse pas mon frère tout seul, ne nous laisse pas ... Parce que je ne dois pas être beaucoup plus belle à voir, et Harry ? Lui, n'en parlons pas, Ron me dit qu'il hurle ton prénom la nuit, il a des cernes violacés, des tremblements le prennent en pleine journée, son teint tire sur le vert ... Il ne parle plus, ne rit plus, ne mange plus, ne vit plus que pour Dumbledore et tuer le roi des fous, je suppose que Voldemort s'amuse à lui envoyer des cauchemars te concernant pour lui faire encore plus de mal que ce qu'il ne lui en fait déjà. Alors oui, Hermione, réveille toi vite. On a besoin de toi ...
 
 
Point de Vue Drago.
 
        Etais - ce du regret que je ressens au fin fond de mes entrailles ? Non ... Impossible. Pas pour cette ignoble Sang de Bourbe. Pourquoi suis - je allé la voir ? Le pire c'est que la Belette m'a vu, quel pétrin ! Un Malefoy n'éprouve rien, outre la Haine et encore moins pour une née - moldue. Un Malefoy est cruel, sans coeur, rongé par les Ténèbres, sans une infime partie de bonté en soi ! Un Malefoy c'est un ...
        Un lâche. Voilà ce que je suis ; un lâche. J'ai préféré ma survie à protéger ma mère, j'ai préféré fuir mon manoir, j'ai reçu la marque des Ténèbres sans riposter et exécuter les missions répugnantes que l'on m'avaient données, je n'ai jamais tenté d'être autre chose que ce l'on attendait de moi ni avec les gens qui m'entourent et encore moins avec les nés - moldus, mais avais - je le choix ? Ais - je eu le choix, une seule fois dans ma misérable vie ? Non. Jamais. Mon père me rabâche sans cesse depuis mon enfance qu'il faut se soumettre, plier face au destin que l'on m'a tracé. Et c'est ça mon destin : faire souffrir les autres pour arriver à mes fins ; torturer, tuer et obéir à ce sadique tortionnaire : Voldemort ... J'ai peur. Bien sûr, jamais je ne l'avouerais.
        Elle, Granger, elle n'a pas à ressentir ça, elle à l'innocence pour elle. Je l'imagine bien avec ses parents aimants, la serrant dans leurs bras au coucher, la consoler quand elle ne se sent pas bien, oui, j'imagine qu'elle a reçu tout l'amour du monde par ses parents. Et puis elle a ses amis, bien que je les haïssent profondément, ils ont de la chance de pouvoir compter les uns sur les autres à tout moment, moi je n'ai personne peut être Blaise mais c'est différent. J'aimerais avoir sa vie, sa vie doit être d'une simplicité déconcertante même si elle '' combat '' avec ses petits copains les forces du mal et que c'est une Sang de Bourbe : détail non - négligeable ... Elle doit avoir une vie toujours emplie de choix, de portes de sortie quand elle en a envie. Un lâche doublé d'un envieux de Sang Impur : abject !
        Non, la seule chose que je regrette en l'absence de la serpillière concerne la préparation de ce bal à la noix ... Je dois tout faire seul ! Encore. Je la déteste, je la hais !
 
 
Le lendemain.
 
 
Point de Vue Externe.
 
Sorti du déjeuner, un étrange petit groupe composé de trois adolescents particulièrement connu au sein de la prestigieuse école se dirigeait vers leur dortoir et semblait tenir une conversation un peu animée :
 
 - Et si on allaient à Pré - au - Lard cet après - midi ? proposa Ginerva avec le plus de gaieté possible,
 
 - Non, si elle se réveille je veux être là ! refusa l'amoureux transi,
 
 - Mais Ron ! insista sa petite soeur,
 
 - Non je te dis ! rejeta une seconde fois son frère,
 
 - Harry ? Tu veux bien y aller avec moi ? demanda t'elle avec espoir à l'Élu,
 
 - Euh ... Oui, ça ne peut pas me faire de mal, Ron tu devrais venir vraiment, accepta t'il gentiment en intimant à son meilleur ami de venir,
 
 - Non ! Si elle se réveille et qu'elle est toute seule ? Vous n'y pensez pas !
 
 - Mais Ron, regarde nous on ne ressemble à rien, viens il faut continuer à vivre ! On ne nous accorde pas beaucoup de repos, entre les cours et la guerre, je ne parle pas des devoirs, des ASPIC et maintenant de Hermione ! Ron, il faut absolument que l'on se change les idées, dit  Harry lassé par la situation actuelle,
 
 - D'accord mais juste le temps de boire une bierreaubeurre, et après on rentre, céda le rouquin,
 
 - D'accord, s'exclamèrent Harry et Ginny joyeusement, avant de se diriger vers la salle commune des Griffondors, rendez - vous à 13h30 dans le hall, ajouta la rouquine avant de s'engouffrer dans son dortoir, sourire aux lèvres,
 
À quelques étages de là, Drago Malefoy tournait en rond dans son appartement qu'il occupait seul depuis trois semaines, la présence de son homologue commençait vraiment à se faire sentir car il s'ennuyait ferme :
 
 - Granger ! Je n'aurais jamais cru ça mais j'attends avec impatience ton retour, j'ai pleins de mauvais coups à te jouer ! Je m'ennuie !
 
... Toc Toc ...
 
 
 Vieux ! Sors de là ! On va à Pré - au - Lard avec Pans' ! Comme si Salazard avait entendu ses supplications, il lui avait envoyé son '' meilleur ami '' en renfort. Blaise Zabini, grand métisse considéré par toute l'école comme l'ami, le seul et unique ami de Drago Malefoy, le seul n'ayant jamais eu à faire face aux regards glacials du Prince, le seul qui ait le droit à un tant soit peu d'attention de sa part, celui qui avait réussi à entrer dans le cercle extrêmement restreint des fréquentations de Drago sans ne fournir aucun effort. Certes, la définition du rapport amical entre ses deux - là devrait être revue dans leur cas mais pour les élèves de Poudlard que l'odieux Prince des Serpentards s'intéresse à quelqu'un d'autre qu'à sa petite personne était un exploit,
 
 - Avec grand plaisir ! J'arrive dans trente minutes, s'exclama Drago à travers le tableau d'entrée,
 
 - Ça marche ! Dans le hall à 14 heures,
 
        Arrivés seulement depuis quelques minutes dans la taverne des Trois Balais, Ginny, Harry et Ron commandèrent une bierreaubeurre chacun :
 
 - Et bien ! Je suis contente d'être au chaud !
 
 - Tu m'étonnes il fait un froid de canetar, de canois, oh ! souffla Ron, je ne sais plus ce que dit Mione, mais vous avez raison je me sens bien mieux ici, au chaud,
 
 - Un froid de canard, Ron, canard, repris le brun amusé par l'ignorance de son au sujet des expressions moldues, c'est vrai, au château j'ai l'impression d'étouffer ...
 
        Tout les trois parlèrent et surtout rigolèrent de bon coeur, oubliant complètement leur engagement de revenir au château après avoir bu un verre, Ron se fichait de la tête de sa soeur rouge pivoine : effet indésirable de l'alcool et Harry profitait de cet instant de complicité avec son ami et sa petite amie tout en gardant à l'esprit qu'une des leurs était alitée depuis déjà trop longtemps, il prenait également un malin plaisir à faire enrager Ron en embrassant sa petite soeur :
 
 - Par Merlin ! Mais faites ça ailleurs ! Harry, vieux je t'aime bien mais là tu exagères sérieusement, je vais finir par m'en aller ! enragea Ron,
 
 - C'est fou comme tu t'emportes vite pour si peu, répondit Harry un large sourire aux lèvres,
 
 - Mais c'est quand même ma s.... !
 
 - C'est mignon, Weasley la prude ! les joyeux drilles se retournèrent et virent trois Serpentards rire aux éclats des bêtises de leur petit tyran blond, le rouquin se leva prestement et s'écria :
 
 - Dégage Malefoy, t'es très loin d'être le bienvenu et retire ce que tu viens de dire, menaça Ron, ledit Malefoy s'avança d'une démarche chaloupée, un air malveillant, le fameux sourire Malefoyen sur la face et se posta devant Ron :
 
 - Et sinon quoi sale traître à son sang ? Tu vas appeler ta maman ou mieux ta petite amie à ta rescousse ? Oh ! Suis - je bête, dit - il en se tapant sur la tête en bon provocateur qu'il est, elle est presque morte ! la chose à ne pas dire ni même à suggérer, aussitôt dit aussitôt baguette sortie,
 
 - '' Expelliarmus ! '', le blond contra avec une facilité déconcertante cette attaque avec un sort informulé avant de lancer un '' Rictus Sempra '' qui mis son adversaire déconcentré violemment à terre, dans le petit bar tout les consommateurs suivaient le duel avec une attention non - dissimulée attendant que cela ne tourne vraiment mal pour s'interposer entre les adolescents, l'Élu voyant son meilleur ami mal en point décida de s'emmêler,
 
 - Sale Mangemort ! '' Stupéfix ! '', cette fois - ci le sort atteignit sa cible et l'envoya valser à l'autre bout de la salle, la patronne outrée du comportement puéril des jeunes élèves mit fin à leur combat,
 
 - '' Petrificus Totalus ! '' Si vous voulez vous faire la guerre c'est dehors ! Ici, je ne veux pas de ça ! '' Finite '', les deux bandes libérées, sortirent de la taverne sous les regards réprobateurs des adultes, pressées de pouvoir chacun clouer le bec à l'autre, ils se rendirent dans un lieu bien connu de nos protagonistes :
 
 - La cabane hurlante, t'es sûr Malefoy ? déclara ironiquement la rouquine,
 
 - Oui, la cabane hurlante, je vois que tu as une bonne vue la rouquine,
 
 - C'est marrant, '' Malefoy et cabane hurlante '', sont deux mots qui ne vont pas du tout ensemble, peureux comme tu es !
 
 - Toi sale petit veracrasse roux, la ferme ! cria Pansy Parkinson,
 
 - Tu excelles dans l'art de donner des surnoms ridicules, toi. Excuse - moi Parkinson, d'avoir critiquer ton cher petit Dragonichou ! l'éffrontée rouquine appuya particulièrement sur les syllabes qui composaient ce '' doux '' surnom, tandis que Ron et Harry gloussèrent à cette repartie bien envoyée, elle continua sur sa lancée et se tourna vers le principal concerné, je te prie de m'excuser Dragonichou je n'aurais jamais due dire la vérité sur ce que tu es, elle mima une petite révérence finissant d'achever '' Dragonichou '' bouillonnant déjà de rage,
 
 - '' Endoloris ! '' Regarde - moi bien minable rousse, de quel droit te permets - tu de me critiquer ? Ginny se tortillait dans la boue, elle avait l'impression que sa tête allait imploser, elle voulait hurler mais aucun son ne sortait de sa bouche, elle voulait ravaler ses larmes mais elles coulaient toujours, elle se croyait mourir, elle priait Merlin que cela s'arrête. Voeu exaucé lorsque son grand frère et son petit ami se jetèrent sur son agresseur en le rouant de coups, agresseur très vite rejoint par ses petits soldats, une bagarre moldue se déclencha, Ginny tenta de se relever courageusement afin d'aller aider son frère et son copain, mais se ravisa vite quand le paysage l'entourant se mit à tourner autour d'elle, elle se rallongea dans la mare de boue et ferma les yeux se retenant de régurgiter son déjeuner complet. Du côté des bagarreurs, les Serpentards prenaient le dessus étant plus nombreux mais les Griffondors se défendaient bien, Pansy mordaient, hurlaient, tiraient les cheveux et griffaient leurs assaillants tandis que les garçons préféraient les coups de poings et les coups de pied. Cet échange de coups pathétique dura encore quelques minutes avant que Malefoy ne se stoppe, se relève avec une grâce féline, n'époussète sa cape avec des manières aristocratiques et, ne rappelle à l'ordre ses '' amis '' :
 
 - La prochaine fois que tu l'ouvres la rouquine, creuse ta tombe, et vous deux, ne vous avisez plus jamais, J.A.M.A.I.S de me toucher où je vous fais subir le même sort qu'à votre animal de compagnie, cracha t'il dédaigneux, j'oubliais, pour votre gouverne la Belette et le Balafré, je n'ai pas touché à votre serpillière, rajouta t'il en riant, rire à en glacer une armée de Détraqueurs. Harry et Ron ne prirent même pas la peine de répondre trop inquiets pour Ginny encore par terre, ils la soutinrent tout le long du chemin qui ramenait à Poudlard,
 
 - La prochaine fois que vous proposez une sortie, vous m'oubliez, ronchonna t'il,
 
 - Ce que tu peux être bête quand tu t'y mets, rétorqua Ginny,
 
 - On va voir Mione ? suggéra Harry,
 
 - Oui, et surtout voir Mrs Pomfresh, j'ai l'arcade ouverte, se plaignit Ron,
 
 - Pauvre petite chose va ! railla t'il,
 
 - Tu peux rire, avec ton nez qui a doublé de volume,
 
 - Ça me fait mal de l'avouer, mais Malefoy à une bonne droite, si Mione avait été là on se seraient fait assassinés, avoua piteusement Harry,
 
 - Sauf qu'elle n'est pas là ... acheva Ginny, fataliste, et ce sont sur ces dernières paroles qu'ils entrèrent bien amochés dans le parc du château ...

 
 9. Dis moi que je ne rêve pas ...

 
L'absence est le plus grand des maux.
L'absence grignote les coeurs de ceux qui vous aime, réjouissent certains & indiffèrent les autres ...
 
 
 
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~


        Je ne suis pas vraiment contente de ce chapitre, qu'en pensez - vous ?

Il n'y pas encore de passage purement Dramione mais il va falloir prendre sur soi, ça va venir  !! :D
 

Sur ce, bisous,
 
L.
Tags : Dramione, Dis moi que je ne rêve pas
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#Posté le mercredi 02 novembre 2011 22:49

Modifié le lundi 14 septembre 2015 11:20

10. Dis moi que je ne rêve pas ...

Chapitre 10 : Se remettre en question, se poser des questions, se donner des excuses, vivre dans le passé ... Reviens à ne plus vivre.

 10. Dis moi que je ne rêve pas ...
 

 
Point de Vue Hermione.
 
 
        Je ne voudrais jamais me réveiller ... Toutes complications sont loin très loin maintenant. Tout est parfait ici, le soleil resplendit comme jamais je ne l'ai vu, la lune est plus grosse et majestueuse la nuit, le bruit des vagues est plus apaisant ici, le sable est fin ; chaud ; coulant, un havre de paix. Je suis dans un monde qui n'appartient qu'à moi.
        J'entends ta voix Ron, Harry, ta voix Ginny, des bribes de tes paroles m'atteignent quelques fois ... Ta voix me fait mal Gin', ta voix si joyeuse, si chaleureuse, si maternelle, ne me parvient plus que dans de longues complaintes où tu me supplie de revenir, de me réveiller ... Mais je ne veux pas, je ne veux plus, je suis égoïste, la douleur rends égoïste. Je ne veux pas me lever et tomber un peu plus bas chaque minutes passées éveillée. Je n'ai plus de force, mon courage m'a quitté en même temps qu'avoir laissé mes parents, je sais je me donne peut être cette excuse trop facilement. Mais j'ai peur Gin' j'ai peur pour toi, Ron, Fred & Georges, pour ta mère et ton père, j'ai peur pour Harry parce que les Mangemorts dehors ne l'épargneront pas, parce que Voldemort poursuivras Harry jusqu'à son dernier souffle. J'ai pas la force de me battre. J'ai la peur au ventre Gin', pardonnez ma lâcheté ... Je veux rester ici, venez avec moi et vous verrez, vous non plus vous ne repartirez pas.
 
 
Point de Vue Harry.
 
 
        Un autre garçon aussi désenchanté qu'elle parlait de chose qu'un adolescent ne devrait en aucun cas devoir s'en préoccuper : Sauver l'avenir de tout un monde.
 
 - Ron, viens s'il te plait, j'ai quelque chose de très important à te dire, l'intéressé suivi l'Élu hors de l'infirmerie,

 - Qu'est qu'il y'a ? Tu n'as pas l'air bien,
 
 - J'attendais qu'Hermione se réveille pour pouvoir vous en parler mais le temps presse et elle est toujours dans le coma, les deux amis prirent une mine déconfite à cette triste constatation et le Survivant repris son discours, je vais partir,
 
 - Oui et ? Tu ne fais que ça, des allers et retours entre le château et des lieux inconnus pour trouver les foutus Horcruxes de l'autre malade mental avec Dumbledore, je ne vois pas pourquoi tu m'en parles, se demanda Ron,
 
 - Non, tu ne comprends pas, cette fois - ci je vais partir seul à la recherche de Tu - Sais - Quoi,
 
 - Mais non ! Pourquoi ? Tu es cinglé ! s'écria Ron vigoureusement,
 
 - Ne me coupe pas ! Je n'ai pas le choix, Dumbledore est malade, devant le regard interrogateur du roux il expliqua plus en détail ce qu'il se tramait, quand il a trouvé la bague de Gaunt elle était protégée par un puissant sort de magie noire et maintenant ... Enfin tu vois, il ne peut plus partir, il est trop mal en point et il m'a demandé de poursuivre ce à quoi nous nous attelons depuis le début de l'année,
 
 - Mais oui Harry, allons - nous faire tuer, quelle bonne idée ! Comme ça nous ne faciliterons pas du tout la tâche de Tu - Sais - Qui, enfin Harry ! Je sais que tu es l'Élu mais là ça va trop loin, tu vas vraiment finir par en mourir, objecta t'il,
 
 - En fait Ron, si je t'en parle, ce n'est pas pour te demander de venir avec moi, je vais partir demain matin, je ne sais pas où et ni ce que je recherche précisément mais j'aimerais que tu veilles sur Ginny et Hermione pour moi, je sais que tu l'aurais fait dans tout les cas mais quand même, 
 
 - Tu sais je t'aime bien Harry mais ce que tu peux être borné parfois, Hermione, parce qu'elle va se réveiller, et moi on partira avec toi ! Jamais, tu m'entends, jamais on ne te laisseras tomber, Harry ne répondit rien et adressa un franc sourire à son meilleur ami, quelque part si il lui en avait parlé c'est qu'il espérait qu'il répondrait cela, il ne voulait pas affronter le danger seul et perdu, Hermione et Ron étaient tout ce qu'il lui restait, sa famille, ils continuèrent de parler de chose et d'autre dans le couloir de Poudlard.
 
 
10. Dis moi que je ne rêve pas ...
 
Point de Vue Externe.
 
 
        1 mois ... La saison hivernale était à son apogée, les matins ; les après midi ; les soirées se ressemblaient, tous aussi gris, brumeux, glacials. Même le paysage enchanteur de l'immense parc sous la neige ne rendait plus le sourire aux élèves et aux professeurs. Certains faisaient des batailles de boule de neige, certains essayaient quand même de vivre, de continuer dans la petite routine qui s'était installée durant leur paisible années, peut être était ce la solution pour ne pas sombrer, faire comme avant, faire semblant ?
        Tous attendaient plus ou moins impatiemment la Gazette du Sorcier pour lire les longues listes de personnes disparues ou retrouvées mortes. Il n'était plus rare depuis le début de l'année de voir certains étudiants partir en courant de la Grande Salle après le courrier. Ce n'était plus rare mais toujours aussi bouleversant. L'Élu, Harry Potter juste Harry, avait - il dit à Hagrid lorsque celui ci était venu pour l'emmener à Poudlard, la première année, aujourd'hui, n'était plus ce garçon de onze ans, aveuglé par l'innocence, n'était plus cette petite frimousse rieuse et farceuse. Il était devenu cet homme maintenu par l'amour de ses amis, rongé par l'absence de ses parents et de son parrain engendrant une profonde détresse plus ou moins bien masquée, nourri par une haine sans précédent envers leurs assassins, et son légendaire courage Gryffondorien. Il avait cette partie en lui, qu'il s'efforçait de camoufler sous ses grands sourires, mais les yeux ne mentent pas, les yeux ne trichent pas ; et si l'on se plongeait assez longtemps dans ses émeraudes on pouvait voir cette petite lueur de Ténèbres, de détermination, une noirceur d'âme profondément enfouie danser dans ses yeux. Cette même lueur qui prenait possession, un peu plus chaque jour que Dieu fait, des yeux acier d'un certain Serpentard.
 
        Drago Lucius Malefoy, noble héritier de sa lignée de pureté incontestée, élevé dans les plus pures traditions de Sang Pur soumis au Seigneur des Ténèbres :
 
Faites goûtez la joie, l'innocence, l'amour de 0 à 9 ans à vos enfants, qu'ils subissent un lavage de cerveau contre les Sang de Bourbes et autres êtres indignes de ma grandeur et celle des sorciers.
 
Faites leur ensuite subir l'années de leur 10 ans jusqu'à ce qu'il se mette au pas ; un entraînement intensif afin qu'ils ne connaissent ni faiblesse, ni émotions, ni sentiments, sans conscience et docile. Qu'il résulte de cet entraînement : de vrais petits soldats prêt à tout pour assouvir notre soif de pouvoir et de pureté dans le monde des sorciers. Enlevez leur tous ce qu'ils connaissaient d'humain, tout ces sentiments qui ne sont que futilités, qu'ils tombent de haut et se rendent finalement compte qu'il vaut mieux ne rien ressentir. Qu'ils se blessent et ne se relèvent seulement pour me servir.
 
        Voilà ce que le maître de la Magie Noire attendait de ses parents serviteurs. Bien évidemment, il le disait avec diplomatie mais ceci revenait textuellement à cela. À quoi pouvait bien servir des enfants à part devenir de bons petits soldat des Ténèbres ?
 
 
Point de Vue Drago.
 
 
        Tous pensent que ma vie est fantastique, faire parti de la grande et puissante famille Malefoy est un don du ciel. Cadeau empoisonné, voilà ce que c'est. J'étais fier de mon nom, fier de mes origines, fier des idées que véhiculaient la simple entente de celui - ci : le respect, la crainte, la soumission, la richesse. Tout une prestance se dégageait de nous quand nous passions quelque part. Et maintenant, mon géniteur se terre dans le Manoir fuyant les Aurores et l'Ordre. S'agenouille et s'exécute docilement quand un ordre lui ai donné. Jamais il ne m'avait dévoilé si pitoyable image de lui. Si je l'avais vu ainsi, jamais au grand jamais il n'aurait été mon modèle de perfection toutes ces années durant. Je ne voulais pas être un esclave ! Malheureusement mon instinct de survie me hurle d'obéir, d'imiter cet homme qui n'est qu'apparence, que poudre aux yeux, qui n'est que le pâle reflet de celui que j'aurais voulu avoir pour père.
        Je me souviens encore quand il m'apprenait à voler sur un balais, quand il me chatouillait et que je riais aux éclats nicher dans ses bras, quand il jouait avec moi, quand à Noël j'avais des dizaines de cadeaux au pied du sapin et qu'il me prenait sur ses genoux quand je déchirais sans ménagement les emballages précautionneusement fait par ma mère, quand tout simplement il venait me dire « Bonne nuit » avec mère. Je me souviens d'avoir ris, d'un rire ; d'un vrai rire, dénué de sarcasme ou d'hostilité. J'ai eu cette petit part de candeur, une innocence enfantine, une douceur de vivre puis tout s'était arrêté aussi simplement que brutalement. Comme si du jour au lendemain je m'étais retrouvé dans une autre dimension. En une nuit, une seule, je me suis réveillé dans un manoir lugubre, sinistre, noir ... Un manoir qui autrefois respirait la joie, la chaleur et la chasteté. Je me rappelle encore de ce qu'à fait mon père quand je lui ai sauté dans les bras et ai pleuré suite à un cauchemar, il m'a posé à terre sans douceur. Il m'a fixé de ses yeux rendus anthracites sous l'effet de la colère, j'ai reculé d'un pas, mes larmes coulaient toujours, et là, il m'a administré une gifle magistrale, une gifle qui m'a non seulement fendu la lèvre droite mais par ailleurs, le coeur, j'avais une dizaine d'années, je ne comprenais pas. Il m'a ensuite relevé et m'a enserré le bras. Il m'a hurlé dessus, et frapper, encore et encore. Trop naïf, trop faible. Une nuit, il a fallut une nuit pour que ma vie bascule. Depuis ce jour, je reste impassible à toute forme d'expression humaine sentimentale. Je reste distant à toutes ses effusions malsaines d'amour et autres, je ne veux pas me faire mal, je ne veux plus connaître le Bonheur, ni qu'elle est sa saveur. Je fuis le Bonheur comme on fuit la Peste. Fuir le Bonheur de peur qu'il ne se sauve ...
 
 
Point de Vue Externe.
 
 
        Hermione connue pour son courage, LA Griffondor par excellence, sa passion pour la lecture, son indéniable côté Je - Sais - Tout légèrement agaçant, sa douceur mêlée à sa force, semble ne plus êtres qu'un reflet de ce qu'elle était.

        Drago connu et reconnu pour être LE Serpentard & Sang Pur par excellence, son assurance exagérée, son caractère nombriliste et manipulateur, sa distance et sa froideur. Renfermerait plus d'un mystère en lui, renfermerait plus qu'une facette ...

       Deux âmes déchirées par la vie, par le destin. Deux âmes qui ne se relèveront peut être jamais. Deux anges déchus. Trop abimés, trop fatigués. Deux anges qui se retrouveront liées par la douleur.
 
 
 - HERMIONE ?! Mrs. POMFRESH ! RON ! HARRY ! hurla Ginerva Weasley ...
 
 
 
 
 
 
 
Toujours dans la douleur on verse quelques pleurs, on croit en l'avenir ne voir que des malheurs.
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#Posté le vendredi 04 novembre 2011 19:48

Modifié le lundi 14 septembre 2015 11:23

11. Dis moi que je ne rêve pas ...

Chapitre 11 : Un réveil trop brutal, dans un monde trop violent.
 
 
 
11. Dis moi que je ne rêve pas ...  
 
 
 
Point de Vue Externe.
 
 
 - HERMIONE ?! Mrs POMFRESH ! RON ! HARRY ! hurla Ginny.
 
        Ron et Harry qui se trouvaient quelques secondes auparavant dans le couloir à parler, furent alertés par les hurlements incompréhensibles de la jeune rouquine, Ron accourra au chevet de sa petite amie où se trouvait Ginny mais ne put prononcer aucuns mots intelligibles ... De petits yeux caramels s'entrouvraient péniblement embués de larmes. Le rouquin et Harry ne semblèrent pas y croire, ils avaient tant attendu ce moment et maintenant qu'ils y faisaient face ils peinaient à y croire. Vous savez ce moment que vous attendait impatiemment sans plus trop y croire, ce moment qui lorsqu'il arrive vous n'arrivez pas à réaliser, il peut même vous arriver d'en rêver la nuit. Vous faîtes des plans, montez des scénarios pour que ce merveilleux moment soit inoubliable ou qu'il se passe pour le mieux cependant lorsqu'il s'offre à vous tout vos plans s'évaporent et vous restez inerte, s'était exactement ce qu'Harry et Ron vivaient. Ginny, elle fut plus active, elle alla chercher l'infirmière qui n'avait rien entendu du brouhaha, de son bureau, afin de la prévenir que sa meilleure amie, venait après quasiment un mois dans le coma, d'enfin se réveiller.
 
 
 - Miss Granger ? Miss Granger ? Veuillez serrer ma main si vous m'entendez, l'infirmière sentit une légère pression à la main suite à sa demande, elle lâcha alors la main de sa patiente et commença à s'activer autour d'elle, armée de potions en tout genre et de sa baguette. On l'entendait réciter des sortilèges inconnus des trois élèves l'entourant.
 
 - Et si nous allions prévenir Dumbledore ? Et McGonagall ? 'Mione est entre de bonnes mains, proposa Harry,
 
 - Désolé vieux, je reste ici, déclina Ron poliment,
 
 - Ne t'inquiète pas, je comprends, Ginny ? Ladite Ginny hocha la tête pour toute réponse et ils s'en allèrent côte à côte sans même se regarder. Harry avait mis un terme à leur relation quelques jours plus tôt prétextant que la jeune fille serait la cible n°1 des Mangemorts pour l'atteindre lui, et qu'il ne voulait la mettre en danger pour rien au monde. La rouquine n'en croyait pas un mot, elle était déjà l'une de leur cible première avec ses parents dans l'Ordre du Phénix, une famille et elle même considérée comme Traitre à leur Sang ... Non vraiment, l'excuse de son ex petit ami ne tenait pas la route. Elle l'aimait tellement, il l'aimait elle l'avait lu dans ses yeux, ou peut être cherchait elle à s'en convaincre ? L'avait - il réellement aimé ? Avait elle offert son coeur à un joueur ? Autant de questions qui trottaient dans la tête de l'amoureuse déchue. Néanmoins, elle ne se laissait pas aller elle ne pouvait pas, pas maintenant, elle devait se battre.
 
Point de Vue Hermione.
 
 
Flashback
 
        Hermione disait ne jamais vouloir refaire surface pour se confronter à toutes les complications de la réalité. Elle demandait à ses amis de la rejoindre ainsi qu'ils comprennent pourquoi elle ne voudrait jamais se réveiller en la rejoignant. De toute évidence elle commençait à délirer. Jusqu'à ce qu'un événement autant inattendu que particulier ne se produise :
 
 - Hermione ? Hermione Granger ?

 - Qui ... Qui es là ? Qui me parle ? je tournais sur moi - même et scrutais les alentours, l'intonation de cette voix me frappa, hautaine et froide,
 
 - Comment vas - tu jeune fille ?
 
 - Et bien suis - je morte ? Car si c'est le cas, je ne me sens pas bien,
 
 - Pourquoi penses - tu cela ?
 
Hermione : - Pourquoi ? Et bien, sans doute car je parle à une voix céleste, qu'en pensez - vous ? J'entendis un bruit non loin de moi et me retournais pour enfin voir à qui je m'adressais quelques secondes auparavant, et fut surprise de voir une femme. Elle était élancée et se dégageait d'elle une prestance, une élégance inhumaine qui inspirait le respect partagé à ce que je qualifierais comme de la crainte. Elle portait une longue robe noire en opposition avec sa peau cristalline. Elle avait de longs cheveux blonds attachés en un chignon bien particulier. Cette femme avait les yeux bleus aussi limpides que de l'eau, ce n'était pas la beauté d'un ange ni celle du diable mais une beauté glaciale, impénétrable comme ... MALEFOY !
 
 - Narcissa, Narcissa Malefoy, oui, répondit la femme en noir, une drôle de moue formée sur le visage,
 
 - Je vous dégoûte tant que cela ? Votre fils me ... Mais que faîtes vous dans mon coma ?!
 
 - Mon fils ... Mon fils, son père, moi ainsi que beaucoup de Sangs Purs sommes élevés dans la Haine pour les êtres considérés comme inférieurs, enfin passons je suis là pour bien autre chose, j'aimerais que tu fasses un effort, un effort pour te réveiller,
 
 - Mais encore ? Vous savez à qui vous me faîtes penser ? À Dumbledore avec vos énigmes et le ton qui va avec et vous n'avait pas répondu à ma question,
 
 
Narcissa afficha une expression indéchiffrable à cette comparaison et reprit aussi froide qu'avant, ce qui commençait à m'énerver sérieusement :
 
 
 - Ce que je fais dans ton coma ? Disons que ma tout dernière condition me permets de me balader un peu partout dans les limbes, je t'ai vu là seule, je sais ce que tu as fais pour tes parents, je trouve ça admirable tu sais, je dus paraitre surprise à cette révélation puisqu'elle expliqua ce qu'elle entendait là dedans, je suis morte Hermione, je suis morte pour avoir osé aimer mon fils, je n'ai pas envie de m'épancher sur ce sujet mais saches que ce tu as fais est la meilleure des choses qu'il y avait à faire, tes parents ne souffriront pas, tu dois te relever Hermione, il le faut !
 
 - Je ... Je ne comprends pas pourquoi vous voulez à tout prix me voir vivre, je ne suis qu'une Sang de Bourbe ! Je connais assez bien votre fils pour savoir que vous ne dites et ne faites jamais rien pour rien ! m'emportais - je sur la défensive et énervée pour de bon,
 
 - Quel caractère ! Drago m'en avait touché deux mots, bien soyons franche, c'est vrai que j'ai une bonne raison pour venir te voir mais je ne peux pas t'expliquer pour le moment, tu comprendras avec le temps en revanche si tu veux une bonne raison : tes amis te pleurent, t'attendent, tu ne peux pas être aussi égoïste, pas toi !
 
 - Je sais, je suis égoïste mais qu'est - ce - que vous connaissez de moi, exactement ? Comment pouvez - vous permettre une seule seconde de me juger ?! Et puis même si je voulais les aider, j'ignore comment partir d'ici ! je pleurais, encore une fois et le comble : devant une Malefoy ...
 
 - Lorsque l'on souhaite assez fort quelque chose, il se peut qu'il se réalise, es - tu sûr de souhaiter de revenir parmi les vivants assez pour cela ? je suis étonnée qu'elle ne relève pas mes attaques et s'exprime d'une voix étrangement douce à présent,
 
 - J'ai appris que les voeux ne se réalisent que dans les rêves,
 
 - C'est là, toute la beauté de la magie rien n'est impossible et ne te fis pas aux apparences, c'est sur cette dernière phrase plus qu'intrigante que la voix de Narcissa s'éteignit peu à peu, jusqu'à n'être qu'un lointain chuchotement, je chercha cette femme pas aussi mauvaise que ce que je croyais -si seulement son fils pouvait être pareil- des yeux en sachant pertinemment qu'elle était déjà loin ou même n'avait - elle jamais été là ? C'est alors que je me mis à repenser aux dernières paroles de la mère défunte de mon meilleur ennemi, mon dieu le pauvre ! Je comprends mieux son état de l'autre soir ... Oui, le pauvre même lui ne mérite pas ça.
 
        D'après Mrs. Malefoy, si je le souhaite assez fort, je pourrais revenir parmi mes amis ? Mais le souhaitais - je assez fort ? Ils ont besoin de moi. Je ferma les yeux et me mit à réciter intérieurement tout en me trouvant stupide : « Je veux être près de mes amis » je rouvris les yeux, mais rien n'avait changé. Je referma les yeux et réitéra le procédé analogue mais rien ne se passait :
 
 - Non ! POURQUOI ?! Ca devrait marcher ! J'y crois assez fort, non ?! m'écriais - je en tapant du pied comme une enfant, et quand ma petite crise fut passée, je m'effondra en sanglots, prise de soubresauts, J ... Je veux revoir mes amis, juste ça, je sais que je me suis conduite comme une petite fille trop gâtée mais je vous en prie, me flageolais - je, j'implorais on ne sait quel Dieu de me prendre en pitié mais rien n'y faisait, je ne bougeais pas, ne me réveillais pas. Je finis par m'épuiser et '' m'endormir '', en songeant à mes meilleurs amis qui m'attendaient depuis un long moment, songeant à mon présumé égoïsme, à la haine sans équivoque que je vouais à mon homologue blond, à la discussion que j'avais entretenue avec sa mère, à tout un tas de chose qui constituait malgré tout ma vie,
 
 - Mione, tu dois à tout prix revenir, les garçons ne s'en sortent pas sans ton aide, ils croulent sous les devoirs, depuis que tu es tombée dans le coma la guerre entre les Gryffondors et les Serpentards fait rage comme celle dehors, hier nous avons appris que la maison de la grand - mère de Neville s'était faites attaquer par Dolohov et Yaxley heureusement elle n'était pas chez elle, Sainte Mangouste a aussi été attaqué, il ne lésinent pas ces vera ... perçus - je au loin,
 
 - Mmmmh ... m'entendis - je gémir pitoyablement,

 - HERMIONE ?! Mrs. POMFRESH ! HARRY ! RON !
 
 
Fin Flashback.
 
 
Point de Vue Externe.
 
 
        L'infirmière arriva au pas de course en même temps que Ron et Harry Ginny et les professeurs récemment arrivés, elle s'affaira autour de sa patiente naguère réveillée. Elle vérifia ses constantes, sa tension, la gava de potion tantôt jaune, tantôt rose pâle, violette et bleue, Hermione s'abreuvait d'un véritable arc - en - ciel. Quand enfin la vieille femme eut finit elle laissa la place à un certain roux qui avait retrouvé toutes ses capacités et était pressé de voir sa petite amie, enfin !
 
 - Hermione, tu m'entends ?
 
 - Je ... Je ne ... , Ron approcha son oreille de la bouche de la jeune femme afin de saisir les faibles paroles de celle - ci,
 
 - Tu ne quoi ? Parle, prends ton temps, dit - il doucement,
 
 - Je ne veux plus vivre avec Malefoy, elle avait prononcé cette phrase en hachant ses mots,
 
 - C'est lui hein ! s'emporta t'il, je vais le tuer !
 
 - Non, non ce n'est pas lui, il ... il n'a presque rien fait, je ne suis pas dans cet état à cause de lui, essayait - elle de faire entendre raison à Ron de sa voix était rocailleuse et pâteuse,
 
 - Pourquoi le protèges - tu ? Dis moi ce qu'il s'est passé ! une main ridée se posa sur son épaule et le fit sursauter,
 
 - Mr Weasley, contrôlez - vous je vous prie, allez dont faire un tour, le congédia Albus,
 
 - Professeur, il stoppa sa phrase vu le regard ne prêtant pas à négociation du Directeur, regard rare venant de lui, une fois le garçon sorti le Directeur posa enfin les yeux sur la meilleure élève de son école,
 
 - Miss comment allez - vous après cette longue absence ?
 
 - J'ai un mal de tête abominable, et je ne sens plus mes jambes, et puis je pense que c'est tout pour le moment, la Griffondor fraichement réveillée réalisa quelque chose qui la chiffonna, Professeur par longue absence vous entendez quoi ?
 
 - Et bien, un mois et un jour tout rond, répondit - il malicieusement , elle se releva d'un bond dans son lit avant de retomber lourdement,
 
 - Ahhhhh ! Ma tête !! Autant mais c'est impossible ! Les cours, les ASPIC ! Mon dieu, et le bal, la préparation, oh ! Il va vraiment finir par me tuer cette fois, marmonna t'elle perdue dans son esprit elle ne vit pas tiquer son interlocuteur barbu sur le '' cette fois '' et continua, Professeur puis - je quitter ma salle commune ? La cohabitation avec Malefoy est vraiment insoutenable,
 
 - Bien miss, mais vous aurez tout de même à supporter votre homologue durant vos rondes et tout le reste, cette fois - ci un autre professeur fut interloqué,
 
 - Mais Albu ... , ledit Albus leva la main en l'air, signe qu'il était temps de se taire,
 
 - Des elfes s'occuperont de vos affaires Miss, vous - aurez un lit à côté de Miss Weasley, cela vous conviendra t'il ? Hermione sourit en guise de réponse, nous allons tous vous laissez vous reposer maintenant, ses amis et les professeurs s'en allèrent et laissa la jeune femme seule dans ses pensées.
 
 
Sur la route ...
 
 
        Les adolescents partirent vers la Grande Salle pour se restaurer le sourire aux lèvres. Les professeurs principaux respectifs de Serpentard et Griffondor se retournèrent sur le vieil homme considéré comme fou,
 
 - Expliquez - nous, quémanda Severus au vieil homme en question,
 
 - Quoi dont mon cher Severus ?
 
 - Quoi ? Peut - être le retournement de situation subit avec Miss Granger ? répondit - il agacé,
 
 - Pourquoi la retirer de la salle commune des préfets alors que vous vous vouliez, par je ne sais quel folie, les rapprocher ? continua Minerva,
 
 - J'ai peut - être été trop fou, j'ai attendu ce qui de toute évidence est impossible, irréalisable, bien je vous laisse, d'autres affaires m'attendent, bonne fin de journée mes chers, le ton énigmatique employés par le Mage Blanc plongea un peu plus les deux professeurs dans le flou, qui répondirent d'un même ensemble morose,
 
 - Oui, vous aussi, souhaitèrent d'un bel ensemble les professeurs, puis tous prirent un chemin différent.
 
 
Point de Vue Ginny.
 
 
        Nous sortions tous trois de l'infirmerie le sourire aux lèvres, elle était revenue à elle, ma meilleure amie, ma soeur ... J'ai envie de pleurer de joie ! J'ai envie de hurler au monde entier qu'il y a comme ça des jours où la vie est belle ! Oui, aujourd'hui depuis longtemps, Ron, Harry et moi nous étions heureux, heureux de retrouver notre Hermione. Mais quelque chose me gênait chez les garçons, ils avaient l'air tendus, inquiets, bien sûr c'est le cas depuis bien des années maintenant mais là je sens que quelque chose qui ne me plairait pas du tout se tramait, le genre de chose qu'ils ne font qu'à trois et dangereusement bien : s'attirer des ennuis, de gros ennuis :

 
 - Qu'est - ce - qu'il se passe ? lançais - je comme si je parlais météo, Harry s'arrêta et me fixa perplexe,
 
 - Quoi qu'est - ce qu'il y a ?
 
 - Hermione vient d'émerger, vous avez l'air content mais toujours aussi inquiets, pourquoi ?
 
 - Et bien, peut - être car c'est la guerre, s'exclama mon abruti de frère ironiquement fier de sa petite réplique,
 
 - Ronald Billius Weasley, tais - toi par Merlin, t'as bêtise va finir par me rendre sourde !
 
 - Si seulement elle pouvait te rendre muette, marmonna mon frère alors qu'Harry regardait notre gentille chamaillerie en secouant la tête signe d'exaspération amusée, on peut lui dire, tu crois ?
 
 - Elle le saura Ron, elle le verra, céda Harry las,
 
 - Harry, Ron que se passe t'il, dites - le moi ou je vous écorche vif ! quand j'employais ce ton tout à fait spécifique aux femmes de la famille Weasley j'avais l'impression d'entendre ma mère, et à voir mon frère lorsque je m'énervais lui aussi devait voir maman, j'attends !
 
 - Je te fais la version courte : nous allons partir dès qu'Hermione ira mieux, nous allons partir euh ... Hum ... je voyais l'anxiété envahir le beau visage de Harry, nous allons partir pour un petit moment chercher les Tu - Sais - Quoi pour tuer Tu - Sais - Qui, je ne pus prononcer un seul mot pendant plusieurs longues secondes, interloquée - choquée - énervée - envie de tuer - de pleurer. Je vais les torturer, les ressusciter, les torturer encore et ainsi de suite jusqu'à ma propre mort !
 
 - ... ... ... VOUS N'ÊTES PAS SÉRIEUX ? Je rêve ! Après tout les moyens que nous avons déployés pour te protéger toi Mr l'Élu, tu vas partir du lieu qui reste encore aujourd'hui le lieu le plus sûr du monde magique et tout ça pourquoi ? POUR TE FAIRE TUER PAR DES FOUS FURIEUX MASQUÉS ! Et toi ? Alors toi, maman va te tuer, oui oui ne me regarde pas comme ça Ron ! Sur ce, je partais à tout allure vers la Grande Salle en serrant les poings et pestant à tout va, c'est deux crétins viennent de gâcher le peu de joie que j'eusse ressentis depuis pas mal de temps, merci !
 
 
Point de Vue Harry.
 
 
        Gin' a raison je le sais, je m'en veux terriblement de lui faire vivre tout ça, notre rupture, mes aventures, la peur qui lui tiraille l'estomac à cause des dangers que je cours -que je n'ai pas voulu soit dit en passant-, je m'en veux d'être celui qu'elle aime, elle mérite tellement, tellement mieux, je l'aime, je l'aime et elle est la femme de ma vie. Non, elle ne devrait pas à avoir vivre ça, je l'entends déjà pleurer, je l'entends déjà me supplier des yeux pour ne pas y aller et comme d'habitude, je ne pourrais pas, je n'ai pas le choix. Elle le sait, elle connait la prophétie. « Je suis l'Élu » comme disent les autres avec fierté ou jalousie mais qu'il la prenne cette foutue vie, mon passé et mon présent je ne veux que le futur d'une vie calme, heureuse, une vie au côté de Ginny. Je suis si désolé Ginny ... Je t'aime. Je me dirigeais vers la tour des Griffondors, je n'avais plus faim, j'entendais Ron m'appeler mais ne me retournais pas, je voulais être seul et me coucher. C'est tout mais peut - être déjà trop ? Demain, oui, demain j'irais voir ma Mione. Demain tout ira mieux.
 
 
Point de Vue Drago.
 
 
        Weasley Fille est entré bien énervée pendant le repas, s'était plutôt marrant à voir, elle a envoyé tout le monde balader et s'est mise tout au bout de leur table à l'écart. Mais depuis que cette Belette rouquine est arrivé dans la Grande Salle, il affiche un sourire totalement béat et paraît encore plus stupide que d'habitude. Dois - je en conclure que mon jouet favori ce serais éveillé depuis peu ? Ou bien qu'il venait d'énerver sa soeur ? Je me sentais sourire narquoisement à l'idée que la première option sois la bonne et entendis l'affreuse voix de Pansy me rappeler à la réalité :
 
 - Mon Dray, toi aussi tu as remarqué la tête que tire la Belette ? Qu'il a l'air bête, Pansy se mit à rire, un rire strident atroce et se cramponna à mon bras comme toujours et comme toujours je la virais, ce qu'elle pouvait être pénible à me coller comme ça, je ne lui avais pourtant rien fait de spécial !
 
 - Lâche - moi, je ne suis pas ta peluche Parkinson ! tout les Serpentards de la table se turent, vraiment exaspérant ce culte qu'il me voue non pas que je me plaigne mais ils me font pitié, n'ont - ils aucune personnalité ? Qu'est - ce - que vous avez vous ? leur dis - je froidement agrémenté de mon regard tueur, je me leva prestement et sortis de la salle bondée maintenant après qu'ils aient tous détournés leur attention à leurs petites affaires sans le moindre intérêt. Je vagabondais dans les couloirs quand je tombais sur une scène particulièrement dégoûtante, à vomir même : deux Serdaigles vu leur blason, se trouvaient dans un petit coin sombre de l'étage, je me rapprochais un peu pour entendre ce qu'ils se disaient et les vit s'embrassaient avec passion, quand cet échange de bave fut fini, ils reprirent leur souffle et ce que je reconnu comme étant une fille murmura : « Je t'aime », le garçon l'embrassa pour toute réponse à l'entente du bruit de succion que cela fit, je tira la langue en signe d'écoeurement.
 
« L'amour, sentiment d'affection et d'attirance sentimentale et sexuelle entre deux êtres »
 
        Voilà, ce que j'avais lu dans un dictionnaire qui trainait dans mon salon. Sauf que le dictionnaire ne mentionne pas ce que l'amour entraîne à côté comme la souffrance, la mort, les concessions : l'amour n'est que temps perdu, l'amour n'est que déception, l'amour est futile, l'amour est destructeur ... Je ne veux, je ne peux aimer et tant mieux. Satisfaire ses besoins sexuels me semble parfaitement normal mais aimer ? Pourquoi ? Ce n'est bon que pour les faibles.
 
 
 
 
 
 
 
 
Aucune concession n'est permise. Ni pour l'amour, ni pour la haine.
Seule règne en grande prêtresse : la guerre.
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#Posté le vendredi 04 novembre 2011 20:16

Modifié le lundi 14 septembre 2015 11:28

12. Dis moi que je ne rêve pas ...

Chapitre 12 ~ Un garçon à double tranchant ...
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12. Dis moi que je ne rêve pas ...  
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Point de Vue Drago.
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        Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis Granger ce matin en m'installant à table pour le déjeuner ! J'assiste en ce moment même à une scène qui m'eut été familière quelques temps auparavant ; tout les Gryffondors s'affairent autour d'elle, la traitent comme une princesse qu'elle n'est décidément pas, ils lui parlent tous en même temps, tentent de la faire rire à leurs stupides plaisanteries, enfin vous saisissez le tableau : répugnant. Néanmoins, malgré toutes ces personnes qui essayent de la faire revenir sur Terre, elle ne paraît pas redescendre, elle reste perchée dans ses pensées et n'a pas décroché un mot depuis que je l'observe. Elle ne m'a pas vu, ou elle n'a pas voulu, je l'ignore. Elle fixe le plafond, la tête posée sur son poing avec indolence, les yeux dans le vague, j'ai comme l'impression de me voir au travers d'elle ... Oh Salazard ! Mais je déraille, que dis - je ?!
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        Elle a décidé de partir de la salle commune des préfets, je comprends après ce que je lui ai fait. Je crois que je regrette ; je ne sais pas pourquoi ; je ne me comprends pas ; je ne devrais pas. Je vois déjà Mère se retourner dans sa tombe, entrain de me hurler « Drago même si tu hais cette fille, ce n'est pas une raison pour la frapper, ce n'est pas digne d'un homme de ton rang » j'imagine aussi le ton de sa voix : la colère et la tristesse, la déception [mélange détonnant chez Mère.] Je suis mauvais, je suis dangereux, je suis comme lui, je suis comme eux. Mais moi, je suis malheureux ...
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 - Mon Dray' ! Tu as vu la Sang de Bourbe est revenue ! Oh non ... Pas Pansy, pitié, pensais - je, tout en lançant une de mes fameuses petites répliques ironiques :
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 - Oui j'ai vu, je ne suis pas encore aveugle, mais si un jour je le deviens, je te préviens, ironie qu'elle ne saisit pas puisqu'elle se mit à crier à qui voulait l'entendre qu'elle sera celle qui aura l'honneur de me guider si je suis aveugle, Sombre crétine ... Pansy, pitié, la ferme ! Tout la table se tourna vers moi et s'est après un regard qui dissuaderais les plus téméraires de m'adresser la parole, je me levais et me dirigeais vers mon cours favoris : Métamorphose avec mes petits amis : les Griffondors et mon adorée McGonagall, quoi de mieux pour bien commencer la journée dites moi ?
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Point de vue Externe.
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        Une fluette petite sorcière brune se laissait guider vers son cours par son petit ami qui ne lui lâchait pas la main, souriant jusqu'aux oreilles et du Grand Harry Potter qui paraissait tout aussi heureux de retrouver sa meilleure amie. Mais en dépit de tout, la sorcière n'affichait pas de radieux sourire, en fait, s'était tout le contraire, ses yeux fixaient le sol, la tête basse. Elle marchait sans même faire attention où elle allait, elle pensait, elle pensait à la mère de son pire ennemi ... Elle voulait comprendre, elle voulait savoir pourquoi cette femme s'intéressait à une personne, une vermine, une Sang de Bourbe, comme elle ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi ... Peut - être que tout ceci n'était qu'un rêve finalement.
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        Un grand blond hantait les couloirs en direction de son premier cours de la journée. Il ne regardait pas qui ils croisaient, les surplombant de sa hauteur, le port altier :
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 - Tu peux pas regarder où tu vas sale ... Granger ?! s'exclama Drago, confondu,
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 - Tu te paies ma tête ? Monsieur le paon se pavane avec cet affreux petit air condescendant scotché au visage, ne regarde pas là où il fout les pieds, et il se plains, qui l'eut cru ?! cracha Hermione avec rage,
. 
 - Oh oh oh, reprit le Serpentard amusé et -bien qu'il ne voulait pas se l'avouer- content de retrouver cette fille, la fille qui lui renvoyait toujours une remarque bien sentie, Granger on dirait bien que ton petit repos ne t'a pas fait perdre la langue ? Quel gâchis !
.
 - Et toi, tu l'as perds quand ta langue, sale vipère de Mangemort ?! s'enragea Ron,
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 - Quand tu auras appris à manger proprement Weasmoche, riposta immédiatement '' la sale vipère de Mangemort '' narquoisement, il serait dommage d'arriver en retard pour ton premier cours, depuis un mois Granger, tu ne trouves pas ? Hermione regarda ses amis complètement affolée et se mit à les tirer par le pan de leur manche à travers les dédales d'escaliers et de couloirs suivit de près par le grand blond toujours aussi amusé,
 .
 - Je te hais Malefoy ! Et encore c'est un euphémisme ! cria t'elle dos à lui,
 .
 - Moi aussi Granger, moi aussi, enfin arrivés à destination, ils trouvèrent tout quatre, leurs camarades en plein duel visuel qui se regardaient positionnés en chiens de faïence prêt à attaquer si il le fallait, Serpentards contre Griffondors. Malefoy Junior vint se placer, comme tout bon chef : en tête de file tandis que le Trio l'imitèrent du côté des Griffondors. À ce moment précis, les injures ; les répliques désobligeantes ; les humiliations et tout le reste suivit. Blaise ; Pansy ; Drago ; Harry ; Hermione et Ron menaient parfaitement la danse, comme d'habitude, les adolescents était tellement prient dans leurs petits combats verbaux stériles que lorsque le professeur McGonagall fit son apparition, les élèves ne la remarquèrent pas un seul instant, elle les observait donc dans un coin ombragé sous sa forme féline complètement dépitée à la vue de leurs attitudes puériles. Quand sonna 8 heures, elle repris sa condition humaine :
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 - Hum, hum, toussota la sévère McGonagall afin d'attirer l'attention de ses charmants élèves, bien, je vois que rien ne changera jamais avec vous mais comme vous me semblez particulièrement en forme de si bonne heure, je suis certaine que plusieurs petits exercices barbants à souhait et de parchemins théoriques à remplir durant une heure et un devoir durant l'autre seront un remède efficace à votre '' bonne humeur '' matinale, ses interlocuteurs pubères soufflèrent d'exaspération hormis Hermione Granger bien évidemment, oh et j'oubliais le prochain qui souffle, le prochain qui proteste, où me regarde de travers, j'enlève 100 points à chaque maison et vous donne le quadruple de devoirs que j'ai déjà prévu de vous donner, est - ce clair jeunes gens ? Tous acquiescèrent et entrèrent, dans un silence religieux, prendre leurs places respectives.
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        Fidèle à ses paroles, le professeur de métamorphose ensevelit ses élèves de travail. On entendait uniquement les plumes crisser sur les parchemins, le bourreau de travail les regardait à l'affût du moindre tricheur ou flâneur. À la fin des deux heures, chacun se pressaient de sortir de la pièce, tous sauf un certain trio :
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 - Professeur, nous devons vous parler, intima Harry à sa Directrice de maison,
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 - Et bien lancez - vous Mr Potter, elle lui tournait le dos en rangeant divers livres traînant de ci et de là,
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 - Nous allons partir, Hermione, Ron et moi, avoua Harry après mûre réflexion,
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 - Puis - je savoir où et pourquoi, jeunes gens ? cette fois la vieille femme lui faisait face plus qu'intriguée et surtout inquiète,
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 - On ne peut pas en parler mais le professeur Dumbledore est au courant, reprit Ron,
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 - On voulait juste vous le dire, on compte partir après le bal de Noël, Hermione avait été mise au courant au moment de sa sortie de l'infirmerie par ses deux comparses au sujet de leur expédition prochaine et ne s'en était pas plus formalisée que cela, trouvant toute cette mascarade banale. Après tout depuis qu'elle avait fêté ses onze ans, les garçons l'entrainaient dans toutes sortes de galères. Il ne laissèrent pas leur Chef de Maison rétorquer et s'éclipsèrent rapidement la laissant totalement couate.
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........Après avoir repris ses esprits, Minerva McGonagall constata que le terrible trio s'en était allé avant qu'elle n'est pu prononcer un seul autre mot. Elle partit, déterminée, vers le bureau de l'humble directeur de l'école Poudlard « Qu'est - ce - qu'Albus a t'il pu encore inventer pour égayer ses journées en dépit de ce pauvre Potter ? » maugréa t'elle, amère. Elle n'eut pas le temps de ronchonner plus longtemps qu'elle se trouvait droite comme un piquet devant la statue d'un Phénix : l'entrée du bureau d'Albus. Minerva n'eut qu'à dire à haute voix : « Éclair au Caramel » pour que la majestueuse statue tournoie en dévoilant un escalier étroit, faiblement éclairé par des torches murales, elle entra dans le bureau encombrés d'objets tous plus loufoques que les autres : à en faire pâlir d'envie une certaine Serdaigle blonde,
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  - Albus je sais que vous êtes là ! s'écria t'elle dans le vide,
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 - Oh, non, ainsi dont ce château n'est pas assez grand pour que vous ne vous trouviez pas constamment dans la même pièce que moi, Minerva ? cette voix désagréable et doucereuse parvint à ladite Minerva, écorchant ses tympans, et lui tirant un moue désespérée,
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 - Severus, je ne pense pas mettre adressée à vous, ne pouvez - vous pas vous abstenir de répondre ? tandis qu'il s'apprêtait à lancer une réplique fameuse, un certain barbu mit à terme - une fois de plus - à leurs puérilités, ne se lassaient - ils dont jamais ?
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 - Cessez donc tout les deux, Minerva vous qui venez de punir nos chers Griffondors et Serpentards pour des motifs similaires, ne croyez - vous pas vous être au même niveau que vos élèves ? la concernée se sentit rougir et toute penaude à ce doux reproche ce qui fit encore ricaner doucement Severus Rogue, elle reprit ses esprits lui décocha un énième regard meurtrier et s'adressa mi - furieuse, mi - curieuse au moralisateur de la pièce,
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 - Albus, j'ai à vous parler de Mr Potter, Miss Granger et Mr Weasley et leur folle expédition,
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 - Je sais, je n'ai pas d'explication à vous fournir, il sourit moqueur devant la mine déconfite que lui présentait sa collègue et vieille amie, s'est après avoir repris contenance qu'elle se leva de son siège tel un ressort et rugit :
 .
 - Et si ils se font tuer ? Vous serez dans de beaux draps ! Vous vous servez d'eux comme d'appâts, de la vulgaire chair à pâté ! le mage blanc balaya d'un geste las de la main les dires de sa collègue qui fulminait comme une lionne en cage puis il se tourna vers le second professeur resté silencieux durant l'échange, posté au fond de la pièce,
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 - Severus, mon ami vous pouvez prendre congé quant à vous ma douce Minerva, veuillez demander au trio cause de vos maux de venir me voir après le dîner, elle opina du chef retenant à grande peine ainsi une déferlante d'insultes sortir de sa bouche pincée, se leva prestement et dévala les escaliers sans un regard en arrière. Tout en maudissant le barbu fou, elle se mit à la recherche de ses élèves.
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        Alors que cette discussion houleuse avait lieu quelques étages plus haut, les Griffons tant recherchés étaient devant un feu crépitant, soit à lire ou à jouer aux échecs version sorcier, à parler et à rire dans leur salle commune.
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        Hermione avait déjà préparé de quoi survivre pendant leur périple : diverses potions, vêtements chauds, tente, couvertures, lanternes, la cape d'invisibilité de son ami ... etc. elle avait même réussie à caser dans son minuscule sac : des livres de sortilèges de protections et autres, bien sûr celui - ci avait subi un sort d'extension et de ratatinage. Tout était prêt et ce fait la rassurait grandement, bien qu'elle prenne peu à peu confiance en elle, le sentiment d'insécurité qu'elle éprouvait depuis sa plus tendre enfance persistait toujours, tenace. Elle se réfugiait donc dans les livres, dans la prévoyance extrémiste, elle contrôlait tout ce qui la touchait de près ou de loin pour ne pas se retrouver au pieds du mur. Oui, Hermione Jean Granger se voilait la face avec de faux - semblant cartonnés, depuis ses onze printemps la vie périlleuse aux côtés de Harry et Ron qu'elle menait le lui avait prouvé maintes fois.
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        Demain : Parvati, Lavande et bien évidemment Ginny, lui avait imposées une journée « Spéciale bal de Noël » à son grand désarroi. Tout d'abord hermétique à cette idée saugrenue elle dû se résigner lorsque les filles lui firent du chantage et proférèrent d'affreuses menaces, Seigneur ces filles sont pires que la bande de Malefoy, se dit en faisant la grimace. De toute façon, elle se devait d'aller au bal, devoir de préfet oblige. C'est donc accrochée au bras de son ignoble homologue, Malefoy Junior, à supporter les regards jaloux et haineux de Pansy Parkinson qu'Hermione passerait ces trois heures et demies : en Enfer.
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        La jeune femme perdue dans ses sombres pensées, sursauta brutalement quand le tableau de la salle commune des Rouge & Or s'ouvrit sur une McGonagall furibonde et à bout de souffle :
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 - Miss Granger, Mr Weasley et bien entendu Mr Potter, le professeur Dumbledore souhaite vous voir dans son bureau après le dîner, leur lança Minerva un regard brûlant de désapprobation en hochant la tête de gauche à droite et partit sans un mot de plus.
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Quelques heures plus tard
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        La journée touchait à sa fin et s'était déroulée sans d'autre encombre pour nos protagonistes, ceux - ci se rendaient à la Grande Salle pour dîner cependant l'une d'eux manquait à l'appel.
 .
 .
Point de Vue Hermione.
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 .
        Prise d'une effroyable migraine alors que je discutais et émettais des hypothèses sur ce que Dumbledor avait à nous dire avec Harry et Ron, je suis allée à la bibliothèque mettre mon crâne au repos jusqu'à ce que mon estomac ne me sorte de ma passionnante lecture de « Les créatures de la nuit » pour me rappeler à l'ordre. C'est donc en chemin vers la Grande Salle que j'aperçu une ombre dans un couloir adjacent au mien, curieuse de nature je m'approchais pour voir à qui elle appartenait : Disparu. Dodelinant la tête de gauche à droite à sa recherche, un grincement de porte m'alerta, il n'y avait qu'une seule salle de cours à cet étage, la salle d'arithmancie. Je marchais à pas de loup jusqu'à celle - ci, je sentais l'adrénaline s'insinuer en moi réaction ridicule ma foi, ce ne devait être que des élèves venus roucouler en cachette. Arrivée devant la porte, je tendis l'oreille mais aucun bruit même infime, rien :
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 - Qu'est - ce - que ... ? quelqu'un avait surgi derrière moi, et m'entrainais dans la salle avant de verrouiller la porte d'un coup de baguette, l'adrénaline laissait peu à peu place à la peur et à l'inertie, je ne voyais rien néanmoins je savais qu'il était là, tout proche, je sentais son souffle chaud dans mon cou, une fine main délicate et froide me maintenir la bouche fermée avec vigueur, son parfum exhalait une délicieuse odeur de menthe poivrée. Elle m'enveloppais, elle m'enivrais. Paradoxalement, même emprisonnée dans les bras puissants et possessifs de mon agresseur inconnu je me sentais pleinement en sécurité, sentiment que je ne m'étais jamais permise de ressentir. Peut - être développais - je le syndrome de Stockholm prématurément ? Je l'ignore mais j'aimerais rester là ... Qui est - il ?
 .
 .
Point de Vue Drago.
 .
 .
        Elle ne se débat pas, pourquoi elle ne se débat pas ? Ce petit corps fébrile, ce petit être que je n'ai que trop persécuté pour son statut fictif, celle que j'ai envoyé à l'infirmerie, celle que j'ai insultée et humilié, ce soir je la tiens dans mes bras et je ne veux pas qu'elle parte ... Pourquoi ? Je l'ai attiré là seulement pour lui parler, justifier mes actes, pourquoi ? Je ne veux plus me poser ces questions sans réponses. Je la hais, je la hais de toute mon âme, elle me répugne mais je veux continuer de la garder là, dans mes bras. Je me sens bien ...
 .
 .
Point de Vue Externe.
. 
 .
        Dans une des innombrables pièces d'un château bien connu dans le monde de la magie, se déroulait une scène étrange, une scène inédite. Là, naissait une histoire qui irait au - delà de la haine irraisonnée, dans cette petite pièce exiguë éclorait un histoire plus complexe que l'amour lui - même. Un Serpentard Mangemort tenait contre lui une Griffondor Née moldue. C'est envers et contre tout, envers et contre tous qu'ils se laissaient aller, ils laissaient enfin leurs questions de côté et se contentaient de vivre le présent. Une douce et éphémère pause avant que tout ne redevienne qu'un océan déchainé. Ils ne savaient pas ce qui les poussait à rester l'un avec l'autre comme aimanté mais ils aimaient ça. Bien sûr, ils se faisaient mal, bien sûr qu'ils n'avaient pas le droit, mais qui iraient les en blâmer ? Personne ne le saurait jamais. Alors, ils goûtent aux instants apaisants du moment sans crainte ... C'est dans le noir que la jeune lionne laissa son inconnu sans se retourner et sans lui adresser un seul mot, les mots auraient été superflus. S'est en partant qu'elle se souvint en repartant d'un proverbe que son père lui répétait souvent : « Si ce que tu dis n'est pas plus beau que le silence, alors tais - toi. » elle laissa couler une unique larme en songeant aux paroles de son paternel et se promit de ne plus jamais pleurer pour ses parents ... Une bonne fois pour toute.
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12. Dis moi que je ne rêve pas ... .
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Profitez, croquez ces doux instants présents car l'avenir orageux, tapit dans le noir, vous guette tel un chat guette sa proie avant de la dévorer.
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~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
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........Ah, voilà mon premier passage Dramione, certes minuscule mais quand même ! 
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Et ce Drago qui est un temps cruel et mesquin puis plein de remords et torturé. D'où le titre ~ Un garçon à double tranchant. Que lui a t'il prit ? Pourquoi ce revirement de situation avec Hermione ?
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Et que dire d'Hermione ? Qui n'aime plus Ron, l'a t'elle seulement aimée un jour ? Perturbée par cette rencontre fortuite avec l'anonyme ( Drago ) Et qui a décidé un fois pour toute de ne plus pleurer ses parents. Le retour de la Lionne battante ?
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Bisous,
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L. 
Tags : Dramione, Dis moi que je ne rêve pas
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#Posté le mercredi 04 janvier 2012 14:14

Modifié le lundi 14 septembre 2015 12:44

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